Le 17 octobre, avait lieu la 1ère édition de la saison 4 des Clés de la ville, à la Chapelle Saint Joseph de la Grave à Toulouse, en partenariat avec Radio Immo et Le Figaro Immobilier auquel a participé Pierre-Marie Perrin, directeur des affaires publiques de Hellio en présence de Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole. Etaient également présents : Stéphane Dalliet, directeur général pôle Promotion Résidentielle du Groupe Nexity et Me Frédéric Giral, notaire à Caraman, président de la chambre interdépartementale de la Cour d’appel de Toulouse.
L’occasion pour Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l’énergie de dresser le portrait énergétique de la ville de Toulouse.
Toulouse : les spécificités du parc de logements
En 2020, le parc de logements toulousain comptait 306 782 logements dont 15,40 % de résidences principales avec une majorité d’appartements (83,40 %). 67,9 % des occupants sont locataires. On a donc majoritairement un marché de locataires en appartements. D’où l’enjeu particulièrement important pour les propriétaires de réaliser des travaux après le vote de la loi Climat et résilience qui s’impose à eux. Toulouse est dans la moyenne haute de logements classés “passoires énergétiques”, classés E, F ou G au DPE (63 %).
En 2021, le secteur résidentiel toulousain émettait 39.80% d’émissions de gaz à effet. Il s’agit du 2e secteur le plus émetteur, après le secteur du transport (39.80%).
Aides à la rénovation énergétique : l’offre de service Hellio
Dans un habitat collectif, prenons l’exemple d’une copropriété toulousaine de 1980. Cette copropriété de 4 bâtiments et 60 logements est équipée d’un système de chauffage électrique et gaz individuel. Grâce à une rénovation globale de la copropriété comprenant l’isolation des murs par l’extérieur, l’isolation de la toiture terrasse, l’isolation des planchers bas et la mise en place d’une VMC collective hydrogérable de type B, l’étiquette énergétique passerait de E à C grâce aux travaux réalisés. A la clé, on pourrait espérer et surtout garantir via un contrat de performance énergétique un gain de 39%. Dans ce cas de figure, nous serions également en capacité d’aller chercher toutes les aides à la rénovation énergétique : en particulier, la prime CEE et MaPrimeRénov’ Copro.
Dans une maison individuelle, prenons l’exemple d’une maison toulousaine de 156 m² chauffée au gaz. La rénovation globale de cette maison lui permettrait de passer de l’étiquette énergétique G à B, grâce à -entre autres- l’isolation des combles, l’isolation des murs par l’extérieur et l’installation d’une PAC air/ eau. En complément, les propriétaires ont souhaité installer 12 panneaux photovoltaïques, dont le montant des travaux s’élève à 12 990€. Cet investissement permettra au ménage de réaliser 778€ d’économie d’énergie la première année et d’obtenir une prime à l’autoconsommation d’une valeur de 1710€.. L’ensemble de ces gestes permettraient d’obtenir un gain énergétique de 82%. Pour un couple avec 1 enfant dont le revenu annuel est de 48 570€, le reste à charge s’établit à 50 000€ après déduction des primes CEE, MaPrimeRénov’, et bonus sortie de passoire. Le ménage a la possibilité de souscrire un Éco-PTZ pour le reste à charge, qui peut permettre de financer jusqu’à 50 000€ sur 20 ans.
Avec la rénovation globale de votre maison, baissez vos factures et gagnez en confort, été comme hiver
Retrouvez l'ensemble des émissions Les Clés de la ville
Les experts Hellio se déplacent dans toute la France pour aborder le sujet de la transition énergétique en ville, et détailler les performances du bâti local.
Et visionnez toutes les vidéos sur notre playlist Youtube !