Le 17 avril, avait lieu la 7e édition des Clés de la ville en partenariat avec Radio Immo et Le Figaro Immobilier auquel a participé Pierre-Marie Perrin, directeur des affaires publiques Hellio, en présence de Fabrice Loher, maire de Lorient, Stéphane Lavrilloux, directeur régional Atlantique Bretagne Normandie chez Nexity, Pierre-Olivier Rogeon, président de la Chambre des notaires du Morbihan et Sandra Blot, présidente du groupe Pierre Promotion pour Arkéa.
L’occasion pour Hellio, acteur de référence de l’efficacité énergétique de dresser le portrait énergétique de la ville de Lorient.
Lorient : les spécificités du parc de logements
En 2019, le parc de logements lorientais comptait 35 861 logements, dont 42,7 % de résidences principales avec une grande majorité d’appartements (73,5 %). 56,3 % des occupants sont locataires. Lorient compte majoritairement un marché de locataires en appartements.
D’où l’enjeu particulièrement important pour les propriétaires de réaliser des travaux après le vote de la loi Climat et résilience qui s’impose à eux comme je l’expliquais à l’instant… d’autant que Lorient compte parmi son parc de logement résidentiel une part importante de logements classés “passoires énergétiques”, classés E, F ou G au DPE (38,99 %).
Lorient : performance énergétique du parc de logements
Cas concrets de rénovations globales à Lorient
La rénovation globale est le type de rénovation énergétique le plus probant afin de changer d’étiquette et de réaliser de plus grandes économies d’énergie. Hellio a réalisé une projection à partir d’une copropriété lorientaise de 1963. Cette copropriété de 73 logements est équipée d’un système de chauffage au gaz collectif. Grâce à une rénovation globale de la copropriété comprenant notamment l’isolation des murs par l’extérieur, le remplacement des menuiseries extérieures communes ou encore l’isolation des planchers en sous-sols et halls, l'étiquette énergétique passerait de F à C en raison des travaux réalisés. A la clé, Hellio estime un gain énergétique de 60,5 %. Dans ce cas de figure, Hellio est en capacité de proposer une préconisation financière avec les aides à la rénovation énergétique : la prime CEE et MaPrimeRénov’ Copro.
Dans une maison individuelle, prenons l’exemple d’une maison lorientaise de 62 m² chauffée au gaz. La rénovation globale de cette maison lui permettrait de passer de l’étiquette énergétique G à B, grâce à l’isolation des combles perdus, l’isolation des murs extérieurs, le remplacement de la chaudière gaz par une pompe à chaleur. L’ensemble de ces gestes permettraient d’obtenir un gain énergétique de 76,97 %. Pour un couple dont le revenu annuel est de 51 250 €, le reste à charge s’établit à 10 208,74 € après déduction des primes CEE et MaPrimeRénov’. Le ménage a la possibilité de souscrire un éco-PTZ pour le reste à charge, qui peut permettre de financer jusqu’à 50 000€ sur 20 ans.
Avec la rénovation globale de votre maison, baissez vos factures et gagnez en confort, été comme hiver.
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Les experts Hellio se déplacent dans toute la France pour aborder le sujet de la transition énergétique en ville, et détailler les performances du bâti local.
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